Pourquoi convertir un DWG en
SIG est (vraiment) compliqué ?
UNE DIFFICULTÉ STRUCTURELLE TROP SOUVENT SOUS-ESTIMÉE
Les plans produits sous AutoCAD (DWG/DXF) sont pensés pour le dessin technique, mais pas pour l’analyse spatiale.
Le problème central est que les données attributaires (ex : nom, diamètre, matériau, année…) ne sont pas liées aux objets graphiques.
En clair : un symbole de bouche à clé ou un regard sur un plan DWG est souvent juste un « dessin » sans lien structuré avec les données qui le concernent. Cette séparation rend la conversion en format SIG longue, manuelle, et sujette à erreur.
LES SOLUTIONS HABITUELLES (ET LEURS LIMITES)
Pour exploiter ces plans dans un SIG (GeoJSON, SHP…), il faut :
- Bien comprendre la structure du dessin et les conventions DAO utilisées (calques, blocs, nomenclatures…)
- Créer des jointures spatiales intelligentes entre objets et données dans des outils SIG (souvent complexes à prendre en main)
- Ou pire : ressaisir à la main les attributs pour chaque objet, ce qui est extrêmement chronophage et coûteux.
GECKO SIMPLIFIE TOUT ÇA
GECKO contourne ces obstacles en vous fournissant :
- Une charte graphique normalisée avec blocs dynamiques où chaque équipement est lié à ses attributs.
- Un convertisseur web qui extrait automatiquement les coordonnées et les données, puis vous les livre prêtes à l’emploi dans Excel et SIG (GeoJSON, SHP).
Vous gagnez du temps, vous limitez les erreurs humaines, et vous livrez des plans exploitables par les SIG des exploitants ou collectivités.